Je m’appelle Ella. Quand je reprends connaissance, je sens une langue lécher ma chatte avec appétit. Je gémis, tout en me demandant qui m’agresse et pourquoi. Je ne vois rien. Un bandeau couvre mes yeux.
« Q-Qui, ahhh~, est là? Pourquoi… ohhh~! Vous faites ça? »
Je n’ai aucune réponse. Seule la respiration saccadée de mon agresseur. Soudain, je ne sens plus la langue, mais je crie alors qu’un doigt entre doucement dans mon tunnel. Le doigt caresse mes murs.
« Ah~, ah~, s’il vous plait, ah~, arrêter. »
Il m’ignore. Un autre doigt entre en moi. Je gémis fortement. Il va me faire jouir, c’est certain.
« É-Écouter, je… »
Je n’arrive plus à parler. Je gémis sans cesse alors que les deux doigts vibrent dans ma chatte jusqu’à ce que je jouis.
« Tu es une bonne fille, Ella. » Dis soudain l’Hocotatien qui me viole et je reste sans voix. Cette voix appartient à…
« O-O-Olimar! Capitaine Olimar! Pourquoi?! »
Olimar retire ses doigts de ma chatte.
« Pourquoi faites-vous cela?! Pourquoi à moi? »
« Parce que… je n’ai plus rien à perdre. Ella, je t’ai choisie car tu es une belle Hocotatienne. Toutes les femmes que je kidnappe sont belles. »
Je connaissais la rumeur. D’un maniaque qui enlevait, violait des Hocotatiennes puis les laissait partir. Elle était vraie.
« Mais pourquoi personne ne vous dénonce? » Demandai-je au Capitaine déchu.
« Ha, ça… C’est parce qu’elles ne le peuvent pas. J’ai une machine, vois-tu, qui lave le cerveau d’une certaine façon. Je m’en sers pour qu’elles ne se souviennent pas de qui les as agressés. D’ailleurs, je vais m’en servir sur toi après que j’aurais terminé. »
Je voulais lui poser d’autres questions. Savoir ce qui lui est arrivé pour qu’il devienne un tel monstre. Mais Olimar ne veut plus parler. Il lèche à nouveau ma chatte, malgré mes supplications, puis il enfonce sa bite profondément en moi. Je crie, je gémis, mon corps est chaud, rempli de plaisir. Olimar continue d’enfoncer sa bite de plus en plus loin dans mon tunnel mouiller.
« AHHHH~ OLIMAR! »
« Je veux atteindre ton utérus, ma belle Ella. Je veux être sûr que mes graines soient bien placées. Je veux que tu portes un enfant de moi, comme toutes mes victimes précédentes. »
« AHHHH~ NOOOOOON! »
Olimar atteint son objectif et il éjacule dans mon utérus. Il retire sa bite et je l’entends s’éloigner de moi. Je veux me débattre pour me libérer, mais mon corps refuse de m’obéir. Il est perdu dans le plaisir sexuel. Olimar revient. Il dépose quelque chose sur ma tête. À la sensation, on dirait une sorte de casque.
« A…A…A… »
Je voulais lui dire « attendez! » car ce casque doit faire partie de la machine qui lave le cerveau, mais rien ne veut sortir de ma bouche. Un choc envahit mon corps et je tombe évanouie.
J’ouvre les yeux, je vois le ciel d’Hocotate. Je suis habillée, mais ma chatte est mouillée et j’ai envie de vomir. Je ne sais pas pourquoi. Je vais vomir dans un petit buisson puis des souvenirs flous me reviennent. J’ai été enlevé, violé puis libéré mais par qui? Je n’arrive pas à me rappeler.
Je vais aussitôt à la police pour rapporter mon agression. Comme je ne peux pas nommer mon agresseur, l’agent à qui je parle ne me prend pas au sérieux. Le policier me ramène chez moi. Je ne sens sale, honteuse et en colère. Pourquoi la police refuse d’effectuer son travail?
Je fouille alors sur l’internet et je trouve un forum d’aide pour des survivantes d’agressions sexuelles. Plusieurs femmes Hocotatiennes ont, comme moi, une amnésie concernant leurs agresseurs. Je trouve cela étrange mais, quand je leur propose d’enquêter pour découvrir qui a fait cela, ces victimes ne veulent pas aider. Elles veulent juste oublier, continuer leurs vies. Je voudrais bien oublier, mais j’en suis incapable. Je veux découvrir qui a fait ça. Je sens que c’est mon devoir.